mercredi 15 avril 2015

Le retour des abeilles tueuses

    Salut tout le monde !
    Ça fait longtemps n'est-ce pas ?
    …
    Ah en fait, vous ne pouvez pas répondre (techniquement si, mais le temps que vous répondiez, que je réponde, que vous répondiez, etc... on n'est pas couché) donc je vais continuer la discussion toute seule !

Voilà voilà

    Nous sommes au mois d'avril, ce qui veut dire pour moi spleen de fin de 2e semestre d'une année de fac. Et oui, car la fin de l'année (oui l'année scolaire se finit en avril, ça fait un bail que ça ne me fait plus ni chaud ni froid) me remplit de questions existentielles : Que vais-je faire l'année prochaine ? Que vais-je faire de ma vie ? Qui suis-je ? Et bien sûr, le célèbre Pourquoi les dinosaures ont-ils disparu bordel à culs ?
    Enfin, je peux au moins répondre à une de ces questions : l'an prochain, je ne vais plus à la fac. Non, vraiment, ça fait 6 ans que j'y suis et que je fais que des trucs différents (j'aurais un master en lettres modernes, je dirais peut-être pas la même chose)(ou peut-être que les lettres me sortiraient par les yeux), et la barbe, j'en ai marre. Donc je vais continuer à passer des concours jusqu'à ce que j'en ai un, ou jusqu'à ce qu'un producteur américain m'engage pour être la star de son prochain film, ou jusqu'à ce que je gagne au loto.

    Sinon, quoi d'autre ? Vu que j'ai pas mal de temps libre en ce moment, j'ai décidé de reprendre ma vie en main et de m'organiser. Ça veut dire quoi concrètement ? Ça veut dire que j'ai repris l'écriture de ce que j'avais entamé pour le NaNoWriMo et que j'essaye avec force de garder cette motivation enfouie au fond de moi.



    En réalité, le spleen de fin d'année me pousse à faire des choses que je me dis ne pas avoir besoin de faire durant l'année. De plus, pour me motiver encore plus, j'ai relu en entier le livre Ecriture, Mémoires d'un métier de Stephen King. Parce que oui, avoir l'impression que Stephen King m'encourage à travers un livre, ça me donne tout de suite du courage. En fait, il raconte un peu sa vie, comment il est devenu écrivain et, pour lui, ce qui fait un écrivain. C'est assez intéressant (déjà pour quelqu'un comme moi qui l'a beaucoup lu) et mine de rien, c'est bien de suivre les conseils de quelqu'un, avant de trouver soi-même ses propres marques. C'est comme pour le dessin, il faut savoir dessiner juste pour ensuite trouver sa « patte » artistique.
    Donc mon quotidien se traduit par : je me lève à 8h30, je prends mon petit déjeuner et j'écris devant mon ordinateur jusqu'à ce que j'ai 2000 mots minimum, quelque que soit le temps que ça prend. Evidemment, je fais ça tant que je ne commence pas de job. (J'ai même pensé à prendre un mois sabbatique pour faire ça durant 30 jours, et genre faire des ménages ou du baby-sitting pour compléter) Comme ça, hop, à midi je mange et voilà, mon tiers de journée est rentabilisé.

    (Entre parenthèses, j'ai aussi compris qu'il ne fallait pas rester des heures à un bureau assis sur une chaise qui ne convenait pas, j'ai trèèès vite eu le dos en compote. En même temps, c'est peut-être la première fois que je passe autant de temps sur un bureau)


    A part ça, je vais toujours la cuisine (j'en profite tant que j'ai du temps). Je peux vous montrer des trucs alléchants. Par exemple, des fois, je craque mon slip et je fais une belle salade.

Il manquait les croutons, je m'en suis voulu

    Il n'y a pas longtemps, j'ai aussi fait une soupe udon. Les udons, ce sont des grosses nouilles japonaises qu'on accompagne toujours de plein de petits légumes. Le problème ici, c'est que mon bouillon n'avait pas beaucoup de goût, donc l'ensemble était fade. (mais c'est joli quand même)



    Ah, et puis Matagot est frustré parce qu'il voit de plus en plus de bestioles qui bougent dehors.

Tellement de frustration

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