samedi 30 août 2014

Interlude

   Je vais passer en mode journal pour cet article, le temps de préparer le prochain qui sera totalement du fan service pour des acteurs attirants sexy intéressants (mince, je fais du spoil sur mon propre blog).


***


   Dans 2 mois, on sera en novembre. Et qui dit novembre, dit NaNoWriMo. Le National Novel Writing Month est un concours personnel (on gagne rien, à part de l'estime de soi) dont le but est d'écrire un roman en 50000 mots. J'y ai participé l'an dernier et j'ai réussi à passer la barre. J'y ai gagné beaucoup de temps perdu en stress de ne pas avancer et un roman à peine commencé auquel je n'ai pas retouché depuis (à part pour commencer à corriger avec mon assistance en chef).  Oui je pense déjà à cette année parce que ça a été le seul moteur qui m'a poussé à écrire et à parvenir à un objectif (ce que je suis incapable de faire seule). J'espère pouvoir ajouter 50000 mots à mon roman et peut-être même entrevoir une fin possible.
   Cette date sera à marquer au fer rouge, car je pense que vous serez les premiers informés de ma progression.


Transition pas chassé













   Je songe très sérieusement à retourner sur facebook dans un futur... très proche. Ayant eu une quantité de vacances plus que raisonnable, je suis contente d'en avoir profiter sans être sans cesse convoitée par des fenêtre de messagerie, des chatons qui dansent ou le renouvellement perpétuel de la page d'accueil sans aucune raison précise. Mais à présent que j'ai retrouvé un travail à plein temps en attendant la rentrée (qui me fournira également un travail à plein temps en apparence), facebook pourrait revenir sur mon écran sans polluer mon espace vital.
   C'est quand même vachement utile pour les évènements à plusieurs. J'ai essayé d'organiser un jour du plateau en envoyer des sms à 3 personnes différentes, c'était tendu et on a du prendre 2 heures pour se décider à quelque chose (oui bon, je faisais un bracelet brésilien en même temps, mais j'étais au taquet !).


Transition classe


















   Sinon j'ai hâte que Sin City 2 sorte au ciné, ce qui devrait arriver incessamment sous peu.

lundi 25 août 2014

Hêtre ou ne pas zestre

Qu'est-ce que le verjus ?

   Dans les vignes, quand on parle de verjus, ça désigne le raisin encore vert qu'on ne garde pas pour faire le vin.

   En vrai, on se demandait si le mot existait vraiment, ou si les vieux de la vieille avaient l'habitude de dire ça comme mot créé par extension au "jus vert".

Quand vient la fin de l'été, sur la plageuh

   On avait pas si tort que ça. Le mot existe bel et bien (bien que les vieux de la vieille ont très bien pu l'inventer il y a quelques siècles de cela).... et il vient aussi de l'assemblage de mots "jus vert".
   Techniquement, vu qu'on ne fait pas de vendanges vertes, on utilise ce terme pour désigner la 2e vague de raisin qui mûrit, bien après les premiers. On les distingue des raisins mûrs qu'il faut garder.

   Apparemment, des vignerons utilisent le verjus pour faire du vinaigre, ou d'autres trucs dans le même genre. Pour moi, ça reste de la mauvaise graine. Mais on fait bien des choses avec 90% des mauvaises herbes, donc ça ne m'étonne pas des masses.


Cette image n'illustre rien, si ce n'est le prestige de la Bourgogne.

vendredi 15 août 2014

jeudi 14 août 2014

Alleluia

   J'ai remarqué avec une certaine allégresse que je pouvais télécharger par le biais de l'hébergeur de streaming auquel je suis inscrite en tant que membre premium.
   En clair, malgré l'absence d'internet, je peux faire le plein de trucs à regarder /o/

   Let's go pour Shaun of the Dead, Fargo (la série), The Office et Petits meurtres à l'anglaise ! Je vous défie de trouver le dénominateur commun de tout ça.

mercredi 13 août 2014

Les chiens de Baskerville

   En ce moment, c'est la folie, je rattrape mon retard de visionnage de films, séries, vidéos de chaton ou autre. Donc pour ne pas faire un article par élément, comme j'ai fait pour Love Actually, il me parait plus productif de faire une petite liste de tout ce que j'ai vu ces derniers temps.

  
    ~ Cinéma ~




Samedi 9 : Boyhood, réputé pour avoir été tourné durant 12 ans avec les mêmes acteurs. L'histoire d'une famille américaine, plutôt centrée sur le garçon, mais bien ouvert sur les autres membres de la famille. Très agréable, on apprécie les références culturelles qui datent les évènements (Dragon Ball Z, la sortie du tome 6 de Harry Potter...). Mais un peu longuet (presque 3 heures) et finalement la performance métacinématographique ne compte pas beaucoup sur le résultat.









Lundi 11 : Under the skin, film très très étrange quasiment dénué de dialogue mais rempli du corps de Scarlett Johansson sous toutes ses coutures. Elle joue une extraterrestre qui séduit les hommes pour avoir leur peau et elle change de comportement pour essayer de découvrir la nature humaine. Enfin, ça, heureusement que le résumé nous le dit parce que le film est très obscur. Epuré et ésotérique, la musique et l'ambiance sont angoissantes et il a le mérite de laisser le spectateur réfléchir.







Mercredi 13 : Le rôle de ma vie, humour et déprime, l'alchimie magique de Zach Braff. Déprime est un terme un peu fort, mais le film réussit l'exploit de réunir beaucoup de fous rires à des thèmes sérieux et qui nous marquent. Le personnage, acteur, essaye de faire survivre sa famille alors que son père se meurt d'un cancer. Les 2 enfants doivent partir de leur école privée juive par manque d'argent. A voir vraiment, c'est hyper plaisant. Zach Braff en temps que réalisateur et acteur principal de ses films est génial.








    ~ Films TV ~




Le grand, le tout puissant titre des geeks, H2G2, le Guide du voyageur intergalactique. Tout l'humour anglais concentré dans un film de science-fiction, avec en plus comme acteur principal Martin Freeman. La Terre a été détruite pour construire une voie spatiale express à la place, un homme devient autostoppeur galactique et tente de survivre dans l'espace. Génialissime, incroyablement drôle, un classique à voir absolument.









 
Garden State
, encore un film de Zach Braff, en fait le précédent et le tout premier qu'il a réalisé. Moins drôle que Le rôle de ma vie, néanmoins assez fun, et beaucoup plus déprimant. Le personnage, parti pour devenir acteur (encore), revient à la ville natale pour l'enterrement de sa mère. Culpabilité et absence d'émotion sont lot quotidien pour lui, jusqu'à ce qu'il rencontre une Nathalie Portman fofolle et mythomane. Ca reste intéressant à voir.








    ~ Séries ~




On me l'a conseillé comme une très bonne série d'enquête, mais j'étais sceptique par le manque d'éléments particuliers qui me pousseraient à la regarder. Finalement après un épisode, j'ai été plutôt intriguée. Par l'intrigue de base déjà, les cornes de cerf, le rituel étrange, mais surtout par les deux personnages enquêteurs, intéressants. J'attends de voir la suite pour juger. L'avantage est qu'il n'y a encore qu'une saison avec 8 épisodes.







LA série du moment dont tout le monde raffole et que je me suis ENFIN décidée à voir. J'avoue avoir été poussée par la multiplication de visionnage de Martin Freeman (l'obsession d'un acteur et on doit voir tous ses passages à l'écran), et je ne suis absolument pas déçue. Les deux acteurs sont excellents dans leurs rôles, que dis-je, tous sont excellents (surtout Moriarty, aaaah le merveilleux psychopathe). Les enquêtes et l'ambiance est très bien réadaptée à notre époque, c'est le petit plus qui rend la série si charmante. Je dévore assez bien les épisodes (malgré leur longueur), mais je mettrais un léger bémol dans le fait qu'il faut arrêter de faire un patacaisse pour chaque série un peu mieux qui sort. C'est une très bonne série, mais ce n'est pas la plus exceptionnelle qui ait jamais existé (comme Games of Thrones, freinons un peu les ardeurs de la foule).

mardi 12 août 2014

Oups I did it again

   Petit message pour dire que je n'ai plus internet en ce moment. Je pense que mon brave voisin qui possède une freebox est mort, ou juste absent, ou victime d'un orage magnétique terrible.
   Dans tous les cas, je ne pourrai vous fournir un service satisfaisant ; je vais tout faire pour faire des articles à l'avance et les poster lorsque j'ai une once de net.


   Merci de votre compréhension.

Sad cat

samedi 9 août 2014

Réellement l'amour (ou comment est-ce que les québécois osent traduire des titres de film)


   Pour la première fois, j'ai enfin eu l'occasion (je me suis un peu forcée) de regarder Love Actually. Ce n'est pas de la mauvaise volonté de ma part, mais je suis toujours tombée dessus par hasard et je n'ai toujours vu que des morceaux (en même temps, c'est un film morcelé).

   Je pense qu'il est vraiment inutile de vous faire un résumé. Qui n'a jamais vu Love Actually ? Bon ok, je sais...

   Le film raconte plusieurs histoires concernant des gens qui se rencontrent, qui tombent amoureux, qui se blessent, etc. Un film globalement sur l'amour (on l'aurait pas deviné).

Jojen, qu'est-ce que tu fais là ? Retourne dans ta forêt !

   Encore une fois, les anglais sont tellement doués pour faire des comédies romantiques. Je ne suis pas du genre à trop aimer les trucs gnangnan, mais regarder 4 mariages et un enterrement fait parti de ces petits plaisirs de la vie qu'on savoure comme une friandise.
   Quand j'ai commencé à regarder, j'ai été presque... blasée. Je me disais "Ok, c'est rigolo, mais bon voilà, ça casse pas 3 pattes à un canard". Et puis finalement je me suis laissée pendre au jeu et j'avais envie de savoir comment ça allait finir.

On remercie Hugh Grant pour son intervention. Merci Hugh Grant.

   J'avoue, je me suis peut-être surtout laissée prendre par les acteurs. J'ai été même surprise d'en voir certains. Je savais que Hugh Grant (l'impérissable), Alan Rickman (le sublime) ou même Andrew Lincoln (Walking Dead, oui je n'ai pas d'autre référence, mais c'est parlant) étaient présents, mais il y avait aussi Liam Neeson (Qui-Gon maître Jedi) et Martin Freeman (le Hobbit, ah c'est vrai qu'il a joué dans d'autres trucs !).
   Et puis les femmes aussi, ça j'ai moins retenu.

Sinon, bien ou bien ?

   Il n'y a quand même pas que des dénouements heureux. Entre celui qui est amoureux de la femme de son meilleur ami et celle qui abandonne son grand amour pour son frère, il y a de quoi vous tirer des larmes. Heureusement qu'il y a Hugh Grant pour faire l'imbécile dans son bureau de luxe.

Trop dur, peut-être le passage que j'ai le plus souvent vu.

   En fait, je n'ai pas grand-chose à ajouter mais j'aime mettre plein d'images commentées dans mes articles. Je ne peux pas dire grand-chose d'un film aussi connu et qui contient... aussi peu de choses paradoxalement. C'est comme si j'essayais de parler d'Harry Potter sans parler de l'univers, vous en seriez vite lassés parce que je dirais ce qu'on entend partout.

 ~  Les raisons qui m'ont poussé à regarder Love Actually sont des articles très intéressants sur Alan Rickman.
Ici -> blog G&P
Et ici -> Madmoizelle
J'espère que ceci vous contentera.
Si jamais je me décide à faire un article fille-en-rut, ce sera probablement sur Robert Downey Jr, Tom Hiddleston ou David Wenham (non, je ne sais foutrement pas dans quoi il a joué à part Le Seigneur des Anneaux, mais j'en ai foutrement rien à faire).






vendredi 8 août 2014

Coup de violon

Skyrim - Frostfall





Les voix, le violon.
On se croirait dans Le Seigneur des Anneaux.

jeudi 7 août 2014

Tout est fatal

Pardonnez-moi cette affreuse banderole publicitaire

   Je comptais aujourd'hui vous parler de l'adaptation cinématographique de la nouvelle 1408 de Stephen King, mais aussi de l'écrit original. Mais bon, comme je n'ai que des images du film (logique, vous voudriez des images des mots ?), je vais QUAND MEME parler de la nouvelle.
   1408 est tiré du recueil Tout est fatal, recueil dans lequel on trouve quelques nouvelles appréciables de l'auteur. Des petites histoires sympatoches, vous voyez. Non pas que je n'ai pas de respect pour le genre de la nouvelle, mais Stephy est plus doué à mon goût pour le roman.
  
   Mike Enslin est un écrivain connu pour avoir écrit des récits sur des lieux soi-disant hantés après les avoir explorés. Bien évidemment, Mike ne croit une seule seconde aux histoires de fantômes, mais il donne à ses lecteurs ce qu'ils veulent entendre. Il va donc voir la chambre 1408 de l'hôtel Dolphin à New York (un grand hôtel luxueux, rien à voir avec un lieu hanté). Il passe un moment avec le directeur M.Olin, lui répétant qu'il ne devrait pas y aller sinon il devra nettoyer derrière lui (ah pardon, je dérive sur le film) sinon il mourra (ou pas) dans d'atroces souffrances. Enfin, il va pour passer la nuit dans la-dite chambre, assisté de son précieux magnétophone.

   C'est une très bonne nouvelle de mon point de vue pour 2 raisons :
- La première est que la moitié du récit se passe avec Olin en train de raconter ce qu'il s'y est déjà passé et à parler un peu de la pluie et du beau temps. Ce qui signifie que ses paroles ont pu influencer Mike sur ce qu'il a vu, et on maintient le doute sur son état psychologique (mais pas trop longtemps, on sait que c'est Stephy qui a composé ça).
- La deuxième est que les manifestations de la chambre sont d'abord très subtiles et ensuite elles réveillent ce fameux sentiment d'impuissance face à l'horreur que nous connaissons si bien. La plupart des choses que Mike voit se limitent à la porte bancale, qui redevient droite, les tableaux qui changent, la chambre qui semble se fondre sur elle-même, le menu où il n'est jamais écrit la même chose... Ce sont des impressions qui, mises bout à bout, peuvent bien sûr nous rendre dingue, si tant est qu'elles sont réelles. Et puis les murs craquent et décèlent un genre de... monstre qui pourrait sortir d'un moment à un autre.

   La fin reste attendue : Mike met le feu à sa chemise (sans qu'il ne sache sans qu'on ne sache vraiment pourquoi) et la chambre le laisse sortir. Un voisin éteint les flammes et il se jure de ne plus jamais écrire.

On sait que ça fait peur

   Maintenant, le film.
   L'idée de base reste la même. On voit d'abord Mike inspecter une chambre soi-disant hantée, il ne se passe rien, puis une séance de dédicace où il annonce presque d'emblée que tout ça, c'est du pipeau (alors que dans la nouvelle, il le cache, ça fait mieux marcher les ventes). Retour à L.A. où il mène une vie de rêve à faire du surf (je savais pas que la vie d'écrivaillon rapportait autant), et où il regarde des brochures qu'on lui envoie de tous les hôtels craignos. Là il trouve la brochure de l'hôtel Dolphin, il est intrigué et il y court. Mais ce qu'on apprend d'ors-et-déjà en aparté, c'est qu'il avait une vie à New York, une famille, des canaris, on ne sait pas, mais ça sera sûrement important pour la suite.
   Discussion avec un M.Olin/Samuel L Jackson, qui lui interdit d'aller dans la chambre, mais cette fois il a plus l'air menaçant que suppliant (le bon M.Olin du livre a réellement peur d'emmener un homme à la mort, Samuel Jackson a juste pas envie de se retrouver avec un nouveau cadavre sur les bras). Photos des anciens morts, blabla, et ENFIN, Mike se retrouve devant la chambre après avoir tourné et tourné pour la trouver.

Hehe, je suis méchant.

   Petit suspense, puis Mike se met à l'aise, ouvre la fenêtre, et blablate dans son magnétophone. Tout va bien, jusqu'à ce qu'enfin, des chocolats apparaissent sur l'oreiller et le papier toilette est tout plié de manière rigolote (sympa pour un fantôme).
   Je ne vais vous refaire tout le film mais vous apporter les infos condensées. On trouve de tout dans ce que voit Mike : des fantômes qui sautent par la fenêtre, la fenêtre qui tombe sur ses doigts ou qui manque de le coincer dehors, trop de chaleur, trop de froid, le technicien qui ne veut pas rentrer dans la chambre, les tableaux de travers (enfin un rapport entre la nouvelle et le film), le réveil qui indique 60 minutes avant l'apocalypse la libération on ne sait pas quoi, le robinet qui disjoncte, les douches anti-incendie qui disjonctent, l'inondation, Mike qui croit être sorti mais c'est pas vraiment vrai, etc... Pour finir quand même sur le leitmotiv du feu, un cocktail molotov et la chambre meurt, et Mike sort grâce aux pompiers.
  
Non, PAS LA BOUCHE D'AERATION

   Ah, ce que j'ai omis de mentionner et ce qui à mon sens gâche le film d'horreur qui devient un film de drame psychologique, c'est qu'on apprend que Mike a abandonné sa femme après la mort de sa fille par un cancer. Les infos arrivent par l'intervention de la chambre, soit dans la télé, soit en hallucination. Du coup, tout prend un nouveau sens. Mike ne se pardonne pas d'avoir laissé mourir sa fille, se sent trahi par la mort et refuse de croire aux fantômes et à la vie après la mort. La chambre est juste une image projetée de son subconscient. Voilà, fin de l'histoire.
   Le film penche entre phénomènes fantastiques et problèmes psychologiques sentimentaux, ce qui donne quelque chose d'hybride et de pas très abouti. Dans la nouvelle, il y avait réellement une horreur qui se cachait dans les murs et qui était prêt à bouffer tout ce qui passerait vers elle.

Tu n'es pas ma fille !
...
Ah bah si.

   Je suis devenue assez sceptique des adaptations de Stephen King. Après l'excellent Shining, l'angoissant Fenêtre secrète et le terrible Misery, on trouve aussi le passable The Mist, le peu palpitant Christine et le fort décevant Peur bleue. Je pense que le gros problème est de retranscrire l'horreur et le fantastique à l'état pur, alors que les films américains doivent la plupart du temps trouver une raison psychologique, culpabilisante ou autre. C'est un gros problème pour adapter du Stephy... Et c'est la raison pour laquelle je n'espère pas que la Tour Sombre soit adaptée un jour... Oh, mais bien sur que si, au diable les problèmes d'adaptation !

Ouais, j'en suis aussi toute retournée



mardi 5 août 2014

Cinéma

   Je commence à avoir un regain d'intérêt pour le cinéma ! Ces derniers temps, on pensait avoir épuiser notre stock de films potables à aller voir (paske Transformers 4, euuuuh comment dire, non).    Et puis en flânant sur Allociné, je me suis aperçue d'une part qu'il y avait encore des films à aller voir dans les petits cinémas de Dijon, mais aussi que dans les semaines qui arrivent, des nouveautés sont à prévoir !

~ Pour les habitants de Dijon, une rétrospective Hitchcock a lieu à l'Eldorado. Alors, je ne sais pas si elle continue après mercredi, mais elle s'y tenait en se moment donc ça vaut le coup d'y jeter un œil !

Un que je n'ai jamais vu

~ De même, des films d'animation Ghibli repassent à l'Eldorado et au Devosges. Même si ce sont devenus des classiques, c'est toujours sympa de les voir au cinéma.

Classique, classique...

~ Le 6 août (donc très prochainement) sort Lucy, le dernier film de Luc Besson. En-dehors du fait qu'il met en scène Scarlett Johansson (<3), le film a l'air très prometteur. Une jeune fille voit ses capacités psychiques décuplées après l'absorption d'une drogue. Avec la musique d'Eric Serra, mais que demande le peuple.



~ Le 13 août sort Les Gardiens de la galaxie, un film à l'allure déjantée où y a des méchants qui veulent faire le mal et des gentils qui défoncent tout (oui, tout est résumé).



~ C'est dans encore très longtemps, mais on parle déjà du prochain Sin City à paraître. Il sortira le 17 septembre et on retrouvera des personnages du premier film ainsi qu'une ambiance toujours aussi sombre et obscure (tout ce que j'aime).

dimanche 3 août 2014

Les petites bêtes ne mangent pas les grosses

Meow ?

   Ce week-end, en campant négligemment sur un terrain privé avec des amis, je me suis fait piquer par une guêpe, chose qui ne m'était pas arrivée depuis... ouf ! Peut-être 10 ans. Enfin pas depuis un certain temps en tout cas. Bref, ça m'a causé une douleur fulgurante, j'ai pleuré ma maman, la blessure m'a bien brûlée et j'ai commencé à oublier cet affront après 5 heures de douleur amoindrie (ce n'était pas insurmontable, mais la rancœur était bien présente).
   Après avoir marmonné quelques fois encore que non, c'est pas parce qu'on ne les agresse pas qu'on ne se fait pas piquer, que des fois, elles attaquent pour pas grand-chose (les choses qu'on entend souvent, mais comme par hasard, on se fait prendre par la petite saloperie qui s'était levée de mauvais poil et qui voulait se farcir un humain), j'ai lancé le débat à propos du dard qui partait avec la piqûre ou non.
   Internet m'a, comme toujours, apportée des réponses, et bien d'autres choses encore.
  
   D'une part, ce sont bien les abeilles qui perdent leur dard et la vie dans une piqûre, ce que ne font pas les guêpes. Celles-ci peuvent donc piquer plusieurs fois sous l'effet de la menace.

   Ce n'est pas la seule chose que j'ai apprise (ou dont je me suis remémorée).

~  Ces insectes bénéfiques à l'homme par leur rôle de pollinisateurs sont de l'ordre des hyménoptères, classe qui comporte abeilles, guêpes, bourdons, et même les fourmis.

~  Le terme de guêpe est un terme vernaculaire qui n'est pas utilisé dans la classifications des insectes. Il désigne une partie des différentes espèces de différentes familles d'hyménoptères apocrites (= ayant un net amincissement entre le thorax et l'abdomen).

~ Le frelon n'est en réalité pas plus dangereux que la guêpe. Il n'est pas plus agressif et même envoie moins de venin car il doit beaucoup chasser. Cependant, sa piqûre peut causer une douleur un peu plus grande sur le coup. Mais il ne faut pas en avoir plus peur pour autant (dit la fille qui se méfie de la vue d'un moindre corps noir et jaune).

Évidemment, certaines espèces comme
le frelon asiatique sont très agressives.
J'aimerais vraiment pas en avoir un sur moi...

~ Les bourdons sont comme les gros cousins patauds des abeilles. Issus de la même sous-famille, ils sont aussi peu agressifs, voire même encore moins. Ils sont surtout en voie de disparition. Tout comme les abeilles, il faut les protéger !

Comme il a l'air mignon et bonne pâte !

~ Même si on parle d'un autre d'ordre d'insecte (mais puisqu'on parle de piqûre), les taons sont réellement en quête de martyriser nous autres humains. Les femelles ont besoin de beaucoup de sang pour leurs œufs et vont le chercher partout où elles peuvent le trouver. C'est en clair une grosse mouche qui comme le moustique peut venir nous pomper un peu de sang.




samedi 2 août 2014

Ne manquez pas de nourriture


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   Don't Starve est un jeu indé (indépendant, souvenez-vous) sur PC où la survie est le mot d'ordre. Finis les points de sauvegarde salutaires, les points de vie qui se remplissent tout seul ou les PNJ vous sauvant la mise. Ici, vous êtes seul contre un vaste monde qui vous entoure, contre une nature impitoyable qui fera tout pour vous en faire baver.
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Maxwell, ce bout-en-train

   Vous incarnez au début Wilson, un scientifique, qui se retrouve propulsé dans un monde inconnu on ne sait pas trop comment. Même un personnage étrange dénommé Maxwell semble y être pour quelque chose. Son but est de survivre. Et c'est tout ! Plus on survit longtemps et plus on est... fier de soi-même. Mais attention, le jeu est vraiment difficile. 

Au fur et à mesure du jeu, d'autres personnages amusants sont déblocables.

   D'abord, notre personnage a une jauge de faim, une jauge de vie et une jauge de santé mentale.
- Faim : Elle baisse constamment, aussi il faut régulièrement trouver de la nourriture pour la faire remonter. Comment trouver de la nourriture ? Il y a des carottes et des baies disséminées un peu partout, mais elles sont peu nourrissantes. Les lapins donnent de la viande, mais le reste de la faune en donne aussi bien qu'elle soit très dangereuse.
- Vie : Les monstres, arbres épineux ou même les incendies font perdre de la vie. Lorsqu'elle descend au plus bas, vous êtes mort. Si la jauge de faim est au plus bas, elle fait aussi perdre de la vie. Il est bien difficile de la remonter à part en pouvant fabriquer de l'onguent.
- Santé mentale : C'est le petit plus fun du jeu. La nuit, les attaques de monstres, déterrer des tombes ou plein d'autres choses encore font perdre de la santé mentale. Plus la jauge baisse et plus le personnage est instable et a des hallucinations ; les ombres finissent inévitablement par l'attaquer. Cueillir des fleurs est un bon moyen de remonter la jauge.

Les araignées n'ont pas l'air bien dangereuses, mais à plein elles le sont

   Le temps s'écoule. La journée alterne entre jour et nuit, en sachant que la nuit retire toute visibilité en-dehors d'un feu (il est impossible de survivre sans lumière, on se fait attaquer par...on ne sait pas quoi). Au bout d'une vingtaine de jour, l'hiver arrive et là, c'est le drame. Le froid doit être combattu par la chaleur et éventuellement avec la fabrication (oui, on peut fabriquer beaucoup de choses) d'habits chauds. Les nuits sont plus longues et la nourriture se fait rare. Encore un défi de taille pour le joueur.
   Et ce n'est pas tout ! Les monstres sont nombreux et très dangereux. A savoir que sans protection, le joueur meurt au bout de 2 ou 3 coups sans pouvoir y faire grand-chose. Les araignées, les échassiers, les tentacules des marais, les arbres gardiens, le bestiaire est important. Le pire, ce sont les hounds, des chiens sauvages qui arrivent de nul part à n'importe quel moment du jeu. Ils arrivent, ils mangent tout et ils sont contents de leur méfait.
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Lâchez-moi, j'ai rien fait !

   Ai-je oublié de mentionner que la mort est définitive ? Une fois qu'on est mort, le jeu recommence, relance une nouvelle carte du monde et tout est à refaire ! On est donc forcé d'être très prudent et d'avoir très peur pour sa peau (indéniable à un bon jeu de survie).
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   Il existe également un mode aventure (ce dont j'ai parlé dans un précédent post). Il est accessible à partir d'une machine créée par le mystérieux Maxwell cachée quelque part dans la carte du mode survie.
   Si vous pensiez trouver la survie difficile, vous vous trompiez lourdement. Le mode aventure doit mettre le joueur à l'épreuve à travers 5 mondes thématiques (générés dans un ordre aléatoire) dont lequel il doit trouver les pièces d'une machine qui le fait avancer dans le monde suivant. Mais ces mondes sont des enfers permanents dotés d'une difficulté extrême. Le monde Archipelago est divisé en 6 îles reliées par des trous de ver (non, j'ai bien écrit) qui font perdre de la santé mentale dès que vous les empruntez. King of Winter est un monde plongé dans un hiver éternel et Darkness plongé dans une nuit éternelle.
   Au bout de ces 5 mondes, on retrouve Maxwell et... apparemment il y a un fin mot de l'histoire, un spoil, un retournement de situation. Enfin, je n'en sais rien, vu que je m'acharne à essayer de faire ce mode aventure !
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Des beefalos ! Des gentils buffles qui
regorgent de poils et de viande.
Mais ils n'aiment pas trop qu'on touche à leurs bébés.

   En bref, Don't Starve est un jeu difficile, fait pour des joueurs qui ont le courage de résister aux épreuves et de recommencer encore et encore et encore et encore... Le jeu a une bonne durée de vie tout de même avec les différents personnages jouables, ayant tous des caractéristiques différentes, et le monde contient des secrets cachés (tombes, trésors, camps de cochons...).
   Une extension a en plus vu le jour il y a peu : Reign of Giant. Encore plus difficile ! L'été et la chaleur devienne néfastes, les denrées périment encore plus et plein de nouvelles choses merveilleuses nous sont accordées.


Le feu, c'est bien.













vendredi 1 août 2014

1er août 2014

   Je m'excuse platement de mon manque d'activité ces derniers temps ! C'est entièrement ma faute, je délaisse ma bonne volonté de me tenir à quelque chose, c'est impardonnable... Je vais essayer de me rattraper dès demain !


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   Dans l'épisode de Friends que j'ai regardé aujourd'hui (oui je me refais tous les Friends), il y avait Bruce Willis ! Je crois que je n'avais jamais vu ce passage... Mais du coup, ça m'a fait bizarre ; c'est courant de voir des acteurs célèbres dans des séries populaires, mais quand même, Bruce Willis ! Il joue le père d'une fille qui est une étudiante de Ross avec qui il sort.

Bonjour Monsieur, tout ce que vous voulez

J'aime déjà pas beaucoup Rachel, mais là... Lâche-le ! Grr grr !